Depuis le 1er janvier 2009, la surveillance du VIH en Bretagne est prise en charge par l’Institut national de veille sanitaire (InVS), la région rejoignant l’enquête LaboVIH.
Les données présentées dans cette synthèse sont issues de deux systèmes de surveillance nationaux complémentaires qui suivent d’une part, l’activité globale de dépistage, recueillie au travers de l’enquête LaboVIH et d’autre part, les caractéristiques de l’infection à VIH-sida à partir de la notification obligatoire des cas de sida et des cas d’infections à VIH.
Ce 8 pages présente les résultats 2009 et montre que la Bretagne se situe toujours parmi les régions françaises les moins touchées par le VIH, le taux de recours au dépistage demeurant plus faible dans la région qu'en France. Par contre, s'agissant du nombre de personnes malades du sida, la Bretagne se classe dans la moyenne des régions métropolitaines.